Ça y’est, on commence à envisager enfin un retour à la vie normale après un troisième opus de confinement lié à la crise sanitaire. Par étapes, certes, mais les 19 mai, 9 juin et 30 juin sont des échéances tellement attendues pour retrouver le cours de nos vies. Derrière ces portes qui s’ouvriront à nouveau, ces salles de restaurant ou de cinéma que l’on pourra investir enfin, c’est bien plus qu’un souffle d’air économique qui s’emparera de la société, mais un renouveau plus intime permettant de retrouver enfin les siens autour de moments conviviaux. Le retour vers les salons, les foires et congrès à partir du 9 juin permettra à toute la filière professionnelle de travailler.
Une frustration qui s’est accumulée
Le retour à une activité digne de 2019 se fera progressivement, sur une ou plusieurs années, mais on ne peut douter que le secteur tout entier redoublera d’énergie et de créativité pour accueillir dignement tous les publics. A commencer par les exposants, toutes ces PME qui sont privées de leur canal de communication et de vente favori, le salon. Dans tous les reportages qui au quotidien égrènent sur les chaines d’infos, la liste de tous les manque à gagner secteur par secteur, on ne parle jamais des difficultés des entreprises dont l’activité dépend en grande partie de la participation à des salons ou foires. Ce sont plus de 210.000 sociétés exposantes qui faute de salons ont dû se tourner avec plus ou moins de bonheur vers d’autres canaux, digitaux pour la plupart.
Les visiteurs de salons, que leurs motivations soient professionnelles ou personnelles n’ont eu d’autre choix que de se réfugier derrière les écrans à défaut de vraies rencontres. Ils n’ont pas pu exercer pleinement leurs cinq sens à l’occasion d’événements vivants.
Une grande frustration s’est accumulée pendant ces longs mois de solitude numérique. Nous ne doutons pas qu’une fois les vannes ouvertes, tous retrouveront le chemin des parcs d’expositions et palais des congrès avec une ferveur nouvelle, en mesurant bien cette fois le manque que représente pour nos vies, pour la vitalité économique, la privation de ces irremplaçables temps de rencontre en face à face.
Ne pas rater les retrouvailles avec ses clients et partenaires
Les retrouvailles entre tous ces publics aux motivations croisées devront toutefois se faire en respectant les gestes barrière. Il faudra encore patienter un peu avant de pouvoir serrer chaleureusement des mains, se prendre sans retenue dans les bras et même tenter les premières embrassades. En revanche on pourra manifester le plaisir de la rencontre en gratifiant ses contacts de petites attentions, de cadeaux et autres goodies. On peut s’attendre à une ruée vers les fournisseurs tels que www.giffits.fr et il ne faut pas perdre de temps pour commander les mille et unes petites attentions qui immortaliseront ces premières rencontres avec vos clients ou partenaires.
Parmi les objets qui passeront à nouveau de main en main en générant de vrais sourires non pixelisés, on retrouvera les incontournables mugs, les accessoires de bureau (et oui, on va aussi retrouver le bureau), mais aussi de nouveaux venus « à la faveur » de la crise tels que le masque personnalisé. Nous vous souhaitons de belles retrouvailles, mais surtout de nouvelles rencontres, celles qui sont dues à l’irremplaçable hasard au fil des allées d’un salon, et qui deviendront les plus inoubliables.